Vendredi 25 février 2011 à 7:42
J'avais deviné.
Mais ce devait être une surprise.
Hier, Celui-que-j'aime m'a fait grimper dans la voiture pour une destination inconnue. Mais je savais. J'avais deviné. Que nous allions chez Marie. Marie qui, rayonnante, nous a ouvert grand la porte de son joli appartement, où son fils était déchaîné. Toujours aussi adorable la petite Marie, ceci dit. Courageuse, de vivre seule à mon âge, avec un enfant de cinq ans, je trouve. Aussi.
Je savais cependant que nous étions également venus pour chercher Noisette, la petite femelle cochon d'inde.
Café. Clopes. Discussions. Changement de cage de la petite dame poilue. Nous repartons avec.
Pour l'instant, Noisette est en quarantaine. Disons qu'elle est loin des lapines. Ce matin, quand j'ai ouvert son sachet de croquettes, elle s'est mise à couiner d'enthousiasme. Un petit rituel qui risque de s'installer entre nous. Puis nous essayerons de voir si elle peut s'entendre avec Craquotte, car sa cage est minuscule, à côté, la cage de Craquotte est un hôtel, avec ses deux étages. Nebel, n'y pensons pas, elle n'accepte nul autre animal sur son territoire, et qui plus est reste très jalouse.
Donc voilà.
Bienvenue Noisette !
Journée qui se termine. Je suis épuisée par mes nombreux appels téléphoniques.
