De la fatigue.Et des migraines, à force de ruminer sans cesse.
Envie de rien.
Plus envie de rien.
Rester couchée, dire merde.
Fermer les yeux.
De la fatigue.
Des migraines.
Du découragement.
Gamine
La vie est une chose trop importante pour la confier à des adultes
Gamine
La vie est une chose trop importante pour la confier à des adultes
Mercredi 23 février 2011 à 18:37
De la fatigue.Et des migraines, à force de ruminer sans cesse.
Envie de rien.
Plus envie de rien.
Rester couchée, dire merde.
Fermer les yeux.
De la fatigue.
Des migraines.
Du découragement.
Mardi 22 février 2011 à 20:40
Je viens d’amener Anne-Claire à la gare.
Nous avons passé trois jolis jours, à vrai dire, entre sortie, luge, neige, shopping, séance photo, cuisine, et True Blood.
Car oui, je l’ai rendue « à crocs ».
Je ne sais plus trop où j’en suis.
Entre ce que l’on me dit, et ce que je veux.
Je suis perdue, j’aimerais qu’on me laisse décider, seule, quitte à refaire nombre d’erreurs. Tout le monde s’y met. Sauf mes parents, à qui je n’ai rien dis sur le fait que j’allais délibérément reprendre mes études. Et les terminer, cette fois, pour de vrai.
« Je suis d’accord, mais pas tout de suite »
« Renseigne-toi plus ! »
« C’est un mauvais plan »
« Ils ont mauvaise réputation »
« Tu t’enthousiasmes trop vite »
« Reste posée, réfléchis-y bien ».
L’école m’a appelée.
J’ai rendez-vous, de façon téléphonique -, lundi prochain. Cela faisant plusieurs jours qu’un numéro que je ne connaissais pas m’appelais. Je savais que c’était eux. J’ai décroché, j’ai su, j’ai respiré calmement, je me suis expliquée, je n’ai pas paniqué ni raccroché, j’ai survécu.
Je n’ai cependant pas encore reçu la documentation.
Je suis perdue.
Celui-que-j’aime a essayé de me faire réaliser que, peut-être, pour X raisons, ça ne se ferait pas. Manquerait plus que ça.
Manquerait plus que ça.
Je suis perdue.
J’ai peur.
Je suis tétanisée.
Par quoi, j’en sais rien.
Mais je crève de trouille.
Nous avons passé trois jolis jours, à vrai dire, entre sortie, luge, neige, shopping, séance photo, cuisine, et True Blood.
Car oui, je l’ai rendue « à crocs ».
Je ne sais plus trop où j’en suis.
Entre ce que l’on me dit, et ce que je veux.
Je suis perdue, j’aimerais qu’on me laisse décider, seule, quitte à refaire nombre d’erreurs. Tout le monde s’y met. Sauf mes parents, à qui je n’ai rien dis sur le fait que j’allais délibérément reprendre mes études. Et les terminer, cette fois, pour de vrai.
« Je suis d’accord, mais pas tout de suite »
« Renseigne-toi plus ! »
« C’est un mauvais plan »
« Ils ont mauvaise réputation »
« Tu t’enthousiasmes trop vite »
« Reste posée, réfléchis-y bien ».
L’école m’a appelée.
J’ai rendez-vous, de façon téléphonique -, lundi prochain. Cela faisant plusieurs jours qu’un numéro que je ne connaissais pas m’appelais. Je savais que c’était eux. J’ai décroché, j’ai su, j’ai respiré calmement, je me suis expliquée, je n’ai pas paniqué ni raccroché, j’ai survécu.
Je n’ai cependant pas encore reçu la documentation.
Je suis perdue.
Celui-que-j’aime a essayé de me faire réaliser que, peut-être, pour X raisons, ça ne se ferait pas. Manquerait plus que ça.
Manquerait plus que ça.
Je suis perdue.
J’ai peur.
Je suis tétanisée.
Par quoi, j’en sais rien.
Mais je crève de trouille.
Samedi 19 février 2011 à 20:29
Coup de Blues.Coup de Cafard.
Un cafard aussi gros qu'une blatte.
Besoin de voir mes amis, tous ensemble, tous réunis. En avril aura lieu la pendaison de crémaillère, j'inviterai tout le monde. Même si la moitié ne pourra pas venir. Faute à la distance. Faute à l'argent.
Beaucoup de montages sous photoshop en ce moment. Je tente de créer un blog où je vendrai des retouches photos. On m'envoie une photo en me disant ce que l'on veut, et je fais le travail, à partir d'exemples du peu que je sais faire. Mais je ne suis qu'une amateur. Je crains ne pas être à la hauteur. Mais cela me permettrait d'avoir un peu d'argent.
Je continue de réfléchir, pour mes études.
Avec Celui-que-j'aime, on pense que même si dans mon cas sortir serait préférable, pour ce genre d'études, il faut du temps. Et que la correspondance serait le mieux. Je ne me vois pas trop faire trois heures de train chaque jour ou deux fois par semaine. Et puis, je chercherai des stages en même temps. Donc bosser chez moi serait pas plus mal. Je pense.
Vivement demain.
Anne-Claire arrive.
J'ai besoin de voir du monde.
La solitude me pèse.