Je me souviens, sous la pression, avoir envoyé des lettres à des employeurs. L'une m'a appelée hier soir. M'a laissé un message, puisque je n'ai pas décroché. Je ne suis même pas fichue de la rappeler pour m'excuser de refuser son offre. Ce qui énerve quelque peu Celui-que-j'aime. Ce que je comprends cependant. Mais je n'ai pu que me mettre à pleurer, incapable de saisir le téléphone. Fichue anxieté sociale. Je n'en peux plus.
Lui est au travail.
Il dort sur place.
De mon côté, j'ai passé ma journée à vomir.
Je suis même allée m'acheter un framboisier, que j'ai tout avalé et j'espère, tout vomi.
Ca va très mal, au fond.
Je me pose beaucoup de questions.
Où vais-je ?
Pourquoi ?
Pourquoi...
Lui est au travail.
Il dort sur place.
De mon côté, j'ai passé ma journée à vomir.
Je suis même allée m'acheter un framboisier, que j'ai tout avalé et j'espère, tout vomi.
Ca va très mal, au fond.
Je me pose beaucoup de questions.
Où vais-je ?
Pourquoi ?
Pourquoi...